LE BLOG DE FRANCOIS BUHR

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LES MARCHANDS DE SABLE

LES MARCHANDS DE SABLE

 

 

 

Même si personne ne lit, vraiment,  les programmes, même si les programmes sont souvent soit irréalistes, soit inapplicables, leur étude donne une idée globale des choix faits.

 

Je me plais toujours à citer une phrase de M. GORBATCHEV, en 1992, il disait que la France était le seul pays communiste à avoir réussi !

 

Sur les 11 candidats,

 

5 se revendiquent de "gauche" : allant du communisme stalinien, trotskyste à une gauche de la gauche !

 

9 ne défendent pas l'Union européenne !!

 

9 ne parlent pas d'économie et de l'entreprise !!!

 

9  ont cité le Général de Gaulle*, comme référence, dans leur discours !!!!

 

 

Le taux de participation aux élections présidentielles est le plus élevé des élections avec

un taux d'abstention de 15 %.

 

Par contre en 2002, le taux d'abstention est monté à 28 %.

 

En 2017, les derniers chiffres donnent un taux de 35 %, ils devraient baisser à l'approche de l'élection.

 

L'abstention favorise les extrêmes.

 

4 électeurs sur 10, à ce jour, hésitent sur le choix d'un candidat.

 

Les sondeurs et les médias font la pluie et le beau temps : hier E. Macron, aujourd'hui

J. L. Mélenchon, demain qui ?

 

 

J'ai été obligé de faire un choix, à la fois, sur le nombre de programmes et sur les thèmes abordés : j'expose un aperçu des programmes et en filigrane je donne mon avis.

 

 

 

LES PROGRAMMES DE 4 CANDIDATS

 

 

F. FILLON    E. MACRON    J. L. MELENCHON    M. LE PEN

 

Au 12 avril, les programmes connus des 4 candidats sont les suivants.

 

 

DURCIR LES CONDITIONS D'ATTRIBUTION DES ALLOCATIONS CHOMAGE

 

 

F. FILLON : OUI

Encourager la reprise d'activité, en réformant les règles du régime d'assurance-chômage, notamment via l'introduction d'une dégressivité dans l'attribution des allocations. Responsabiliser les demandeurs d'emploi en rendant obligatoire la motivation d'un refus d'emploi et en sanctionnant  un 2ème refus.

 

La dégressivité a existé, en France, pendant de nombreuses années. Les pays qui l'appliquent et qui ont réduit la durée et le montant des indemnités ont vu l'emploi repartir.

 

E. MACRON : OUI

En contrepartie de droits nouveaux, réaliser un contrôle accru de la recherche d'emploi. Si plus de 2 emplois décents sont refusés, ou que l'intensité de la recherche d'emploi est insuffisante, alors les allocations seront suspendues.

 

J. L. MELENCHON : NON

Etablir le "droit opposable" en faisant de l'Etat l'employeur en dernier ressort : en cas de chômage de longue durée, l'Etat doit proposer un emploi au chômeur en lien avec sa qualification, sur une mission d'intérêt général. L'indemnisation par l'allocation-chômage se poursuit jusqu'à ce qu'un tel emploi soit proposé par l'Etat.

 

Proposition complètement utopique et irréalisable

 

M. LE PEN : NE SE PRONONCE PAS (NSPP)

 

 

SUPPRIMER LE TIERS PAYANT

 

F. FILLON : OUI

Abroger la loi Touraine sur l'obligation d'appliquer le tiers payant, pour ne pas alourdir encore les tâches administratives des médecins et leur donner du temps médical au service des malades.

 

Le tiers payant déresponsabilise le patient et accroît la charge administrative du médecin.

 

E .MACRON : NON

Prendre le temps d'évaluer les bénéfices du tiers payant et les contraintes qu'il pourrait induire. Privilégier non pas un tiers payant généralisé, mais un tiers payant généralisable, simple et efficace, permettant aux professionnels d'en faire bénéficier leurs patients sans contrainte.

 

Blablabla....

 

J. L. MELENCHON : NON

Créer des centres de santé pratiquant le tiers payant.

Proposition irréalisable.

 

 

M. LE PEN : NSPP

 

 

ACCROITRE L'AUTONOMIE DES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES

 

F. FILLON : OUI

Laisser chaque établissement choisir son dispositif d'accompagnement des élèves. Donner des outils d'autoévaluation et évaluer régulièrement les établissements. Confier progressivement aux chefs d'établissement du 2nd degré la possibilité de recruter des professeurs et personnels.

Les rythmes scolaires resteront le choix des communes.

 

Donner de la liberté. Supprimer les rythmes scolaires ou laisser le choix aux communes

 

E. MACRON

Donner plus d'autonomie aux équipes éducatives. Elles seront suivies et évaluées. La formation des enseignants sera adaptée à ce nouveau cadre.

 

J. L. MELENCHON : NSPP

 

 

M. LE PEN  : NSPP

 

 

CREER DES PLACES DE PRISONS

 

F. FILLON : OUI

Construire 16 000 places de prison en séparant les primo-délinquants, et notamment les mineurs des autres détenus.

 

N. Sarkozy avait prévu 20 000 places. F. Hollande a tout supprimé excepté 6 000 qui étaient en construction.

 

 

E. MACRON : OUI

Construire 15 000 places de prison supplémentaires sur le quinquennat.

 

J. L. MELENCHON  : NSPP

 

M. LE PEN

Création de 40 000 places supplémentaires en 5 ans.

 

Nombre irréalisable à cause du coût.

 

AUGMENTER LES EFFECTIFS DE POLICE ET DE GENDARMERIE

 

F. FILLON : OUI

Recruter 5 000 agents des forces de l'ordre et redéployer sur le terrain 5 000 policiers ou gendarmes occupés à des tâches administratives, soit un total de 10 000 agents supplémentaires au service de notre sécurité.

 

E. MACRON : OUI

Recruter 10 000 policiers et gendarmes supplémentaires en 5 ans.

 

J. L. MELENCHON

Ramener les effectifs de policiers et gendarmes à ceux de 2007.

 

M. LE PEN : OUI

Mettre en place un plan de recrutement de 15 000 policiers et gendarmes.

 

Tout le monde est d'accord pour augmenter les effectifs.

 

ETABLIR UN PLAFOND ANNUEL D'IMMIGRATION

 

F. FILLON : OUI

Inscrire dans la Constitution le principe de quotas fixés par la loi, plafonnant le nombre de titres de séjour pouvant être délivrés chaque année au titre de l'immigration professionnelle  et familiale, en fonction des capacités d'accueil de la France.

 

E. MACRON  : NSPP

 

J. L. MELENCHON : NSPP

 

M. LE PEN : OUI

Réduire l'immigration légale à un solde annuel de 10 000.

 

 

SUPPRIMER L'AIDE MEDICALE D'ETAT (AME)

 

F.FILLON : OUI

Supprimer l'AME et la remplacer par une dispense de frais de santé limitée à la prise en charge des mineurs, des urgences et des maladies infectieuses.

 

Revenir à sa fonction première qui était de soigner les étrangers à risques et, ou porteurs de maladies. En 2016, l'AME dépassait les 800 millions d'€.

 

E. MACRON : NON

Supprimer l'AME n'est pas une bonne idée.

 

J. L. MELENCHON : NSPP

 

M. LE PEN : OUI

Supprimer l'AME réservée aux clandestins.

 

 

SORTIR DE L'ESPACE SCHENGEN

 

F. FILLON : NON

 

Renforcer notre défense des frontières Schengen par des garde-côtes et une plus grande utilisation de Frontex. Expulser systématiquement tout étranger reconnu coupable d'un crime ou d'un délit et en interdire l'accès à tout étranger condamné pénalement ou ayant participé à une entreprise terroriste.

 

E. MACRON : NSPP

 

J. L. MELENCHON : OUI

Sortir de l'impasse de Schengen.

 

M. LE PEN : OUI

Rétablir les frontières nationales et sortir de cet espace.

 

Vous vous revoyez passer les douanes aux frontières ?

Le contrôle des frontières est impossible sauf à y mettre un mur !

 

 

DANS QUELLE PROPORTION REDUIRE LE DEFICIT PUBLIC ?

 

F. FILLON

Réaliser 100 milliards d'€ d'économies de dépenses publiques sur 5 ans.

 

E. MACRON

Prévoir une baisse de 3 points de la part des dépenses dans la richesse nationale (60 milliards d'économie par rapport au tendanciel).

 

J. L. MELENCHON

S'exonérer du pacte de stabilité et des règles européennes encadrant les déficits

 

M. LE PEN : NSPP

 

 

REDUIRE LE NOMBRE DE FONCTIONNAIRES

 

F. FILLON : OUI

Remplacer un départ sur deux en moyenne à l'échelle des fonctions publiques ce qui permettra de réduire de 500 000 le nombre d'emplois publics en 5 ans tout en maintenant un niveau de recrutement significatif sur la période.

 

La France a créé 1 million de fonctionnaires en plus entre 1992 et 2002 : vous avez vu la différence dans les services publics ? La France a le record du monde du nombre de fonctionnaires par habitant. Dans les 5 années à venir plus de 570 000 fonctionnaires vont partir à la retraite + 500 000 contrats à remplacer.

Cette baisse ne touchera pas la sécurité, la justice, l'enseignement et les hôpitaux.

 

E. MACRON : OUI

 

Réduire le nombre d'agents publics de 120 000 emplois sur la durée du quinquennat sans licenciements.

 

J. L. MELENCHON : NON

Moins de fonctionnaires, c'est moins d'Etat, moins de service public, moins d'égalité.

 

En réalité, il veut augmenter le nombre de fonctionnaires.

 

M. LE PEN : NSPP

 

COMMENT REDUIRE LES DEPENSES DE SANTE

 

F. FILLON

Ramener l'assurance-maladie à l'équilibre d'ici à 2020 en faisant 20 milliards d'€ d'économie, en luttant contre toutes les sources de "non-qualité" du système de santé ; soins redondants ou inutiles, recours excessif à l'hôpital, fraudes et abus, bureaucratie excessive.

 

E. MACRON

Réaliser, grâce à un rythme maîtrisé de progression des dépenses de santé, 15 milliards d'€ d'économie sur 5 ans.

 

J. L. MELENCHON : NSPP

 

M. LE PEN

Garantir la Sécurité sociale pour tous les Français, ainsi que le remboursement des risques pris en charge par l'assurance maladie.

 

 

RELEVER L'AGE DE DEPART A LA RETRAITE

 

F. FILLON : OUI

Faire passer progressivement l'âge légal à 65 ans.

 

E. MACRON : intermédiaire

Conserver un âge légal de la retraite à 62 ans.

 

J. L. MELENCHON : NON

Restaurer le droit à la retraite à 60 ans à taux plein, ramener la durée de cotisation pour une retraite complète à 40 ans.

 

Carrément menteur : ce n'est pas un problème politique mais comptable : il ne pourra jamais appliquer cette idée sauf à le faire exploser.

 

M. LE PEN : NON

 

Fixer l'âge légal de la retraite à 60 ans avec 40 annuités pour percevoir une retraite pleine.

 

Comme Mélenchon.

 

SUPPRIMER LES 35 HEURES

 

F. FILLON : OUI

Mettre fin à la durée légale du travail à 35 h et laisser chaque entreprise décider de son temps de travail par la négociation.

 

La France a inventé le système de la TVA, le monde entier nous l'a pris.

Aubry a inventé les 35 h : nous sommes les seuls. Augmentation du coût du travail de 11 %, désorganisation totale des hôpitaux des PME/TPE.

 

E. MACRON : INTERMEDIAIRE

Pour certaines entreprises, les 35 H sont adaptées. Pour d'autres, ce n'est pas le cas : elles auraient besoin que les partenaires sociaux puissent décider de travailler plus ou moins.

 

Il était pour la suppression des 35 H aujourd'hui c'est du blablabla : si vous comprenez ce qu'il veut faire !

 

J. L. MELENCHON : NON

Appliquer réellement et immédiatement les 35 H.

 

B. Hamon fait mieux : il veut aller aux 32 h !

 

M. LE PEN : NON

Maintenir la durée légale hebdomadaire du travail à 35 H. Autoriser la négociation sur l'allongement du temps de travail.

 

Comme Mélenchon.

 

 

BAISSER L'IMPOT SUR LE REVENU

 

F. FILLON : NON

Baisser les charges patronales et salariales sur les entreprises et mener des réformes structurelles pour relancer l'activité.

 

E. MACRON : NSPP

 

J. L. MELENCHON : NON

Transformer la CSG et l'impôt sur le revenu en un nouvel impôt citoyen sur les revenus. Rendre l'IR plus progressif (14 tranches contre 5 aujourd'hui avec un prélèvement à 90 % sur la tranche supérieure).

Son programme a été chiffré à 175 milliards d'€. La hausse des impôts s'élève à 85 milliards d'€ soit le cumul des hausses sous N. Sarkozy et F. Hollande réunies.

 

M. LE PEN : OUI

Baisser de 10 % l'impôt sur le revenu sur les 3 premières tranches.

Programme chiffré à 125 milliards d'€.

 

La France a le record de l'OCDE des prélèvements fiscaux : sur une année, les Français travaillent pour l'Etat jusqu'au 27 juillet !

En 2012, F. Hollande a gagné les élections sur son 75 % de prélèvement. En 2013 et 2014, certains contribuables ont payés 100 % d'impôt sur leurs revenus. En 2016, 6 000 français ont quitté le territoire pour raison fiscale. Malgré cette ponction fiscale suicidaire, nous avons le même taux de pauvreté/précarité (14 %) que les autres.

 

 

AUGMENTER LA TVA

 

F. FILLON : OUI

Augmentation de 2 points sur le taux normal. Les taux intermédiaires et produits de 1ère nécessité  resteront inchangés. Objectifs : redonner une compétitivité à nos entreprises et faire contribuer les importations au redressement du pays.

 

N. Sarkozy voulait une TVA "SOCIALE" à + 2 %. F. Hollande l'a annulée pour l'augmenter ensuite. Sur 100 € consommés, les Français importent 60 % des produits consommés. Faire participer les importateurs à notre redressement est pertinent. 

 

 

E. MACRON : NON

Exclure toute hausse de TVA.

 

J. L. MELENCHON : NON

Réduire la TVA sur les produits de 1ère nécessité, revenir sur les hausses récentes et réinstaurer une TVA grand luxe.

 

M. LE PEN : NON

Refuser toute hausse de TVA

 

SUPPRIMER L'IMPOT DE SOLIDARITE SUR LA FORTUNE (ISF)

 

F. FILLON : OUI

Supprimer l'ISF dès 2018 pour garder en France des capitaux qui seront investis dans des entreprises françaises et qui créeront des emplois en France.

 

L'ISF est un très mauvais impôt : il rapporte très peu (5 milliards d'€), il a fait fuir l'argent à l'étranger, ce n'est qu'un symbole politique. A supprimer d'urgence.

 

E. MACRON : NON

Remplacer l'ISF par un impôt sur la fortune immobilière.

 

Comme souvent avec ce candidat, il était pour le supprimer et aujourd'hui il veut surtaxer l'immobilier. Très mauvaise décision : nous manquons de logements, les investisseurs vont déserter.

 

J. L. MELENCHON : NON

Renforcer l'ISF

 

M. LE PEN : NON

Renforcer l'ISF.

 

 

LA CSG

 

M. Macron veut l'augmenter de 1,7 point, elle passerait de 15,5 à

17,2 %. (Rappel : à sa création la CSG était à 0,50 % et devait être temporaire).

 

L'impact pour un fonctionnaire touchant 2 000 €/mois serait de 500 € de perte par an, pour un retraité percevant 2 000 € la perte est à 408 €/an.

 

SORTIR DE L'EURO

 

Certains souhaitent quitter la zone euro : aucun texte ne prévoit la sortie de l'euro d'un Etat membre. C'est un angle mort sur le plan juridique.

Il faudra s'attendre, en raison de la dette extérieure abyssale, à une dépréciation de 30 % du nouveau franc. Cette dévaluation aurait pour effet, dans un premier temps, de stimuler les exportations mais rendrait les importations plus chères, donc hausse de l'inflation et pouvoir d'achat en berne. D'autres effets dévastateurs touchent la fuite des capitaux à l'étranger, la fonte de notre épargne nationale et une augmentation du coût de notre dette publique. 

 

 

ILS SONT DANGEREUX

 

LE PEN et MELENCHON SONT DANGEREUX mais leurs programmes sont connus.

 

En 3 mois, la France s'effondre.

J. L. Mélenchon a toujours pris H. Chavez au Vénézuela comme modèle : aujourd'hui ce pays est en ruine.

 

E. MACRON EST DANGEREUX car son programme fluctue en permanence et reste flou.

 

Il y a quelques mois, il voulait supprimer l'ISF et remettre en cause les 35 heures. Aujourd'hui; c'est l'inverse.

Il a beau reconnaître qu'il faut faire des "réformes structurelles" qu'il se garde bien de désigner.

Il annonce une série de réduction des dépenses mais il ne dit jamais comment.

En voulant satisfaire la droite de la gauche et la gauche de la droite, E. Macron livrerait un programme fort peu ambitieux qui risque de n'être qu'une continuation du hollandisme. Le candidat du compromis soi-disant social-libéral fait, comme ses prédécesseurs, le pari du temps. Il espère naïvement que les marchés lui laisseront éternellement du répit. Le courage politique attendra. Tout comme le retour de la France à la prospérité et au progrès social.

 

E. MACRON est un candidat de synthèse, un produit marketing bien pensé, couleur pastel (du rouge, du bleu, du rose, un petit peu de vert...), superficiel, il dit ce que les gens veulent entendre, il est une caricature de lui même : d'accord avec tout le monde, hologramme de F. Hollande (regardez le discours de Marseille, F. Hollande dit que le programme de Macron est un copier/coller de son programme 2012).

 

Sa phrase "je suis très exactement du même avis que tous ceux qui sont en désaccord avec moi" résume bien sa pensée politique.

 

Macron est un «progressiste», bien ancré à gauche qui avance masqué : un socialiste honteux du bilan Hollande. Il a toujours été à gauche. Il est entouré d’une équipe de socialistes, il a bénéficié pour sa candidature de parrainages presque exclusivement socialistes.

 

Pour finir, le 3ème tour sera les élections législatives de juin.

Comme il est dit partout, à juste titre, tous ces candidats n'auront pas de majorité pour gouverner, excepté F. Fillon.

E. Macron pense piocher, dans ses 10 000 internautes, 577 candidats et faire élire 300 députés à ses couleurs : faire cohabiter R. Hue et Madelin, des communistes avec des socialistes, Bayrou et

Cohn Bendit me semble hasardeux.

Dans la perspective d’une éventuelle élection, il ne pourrait compter que sur une majorité d’origine socialiste avec des centristes de gauche et écologistes.

 

 

Intellectuellement ce discours me passionne mais l'état de ce pays n'a plus le temps de l'aventure.

 

 

* Depuis toujours les communistes, les socialistes ("Le coup d'Etat permanent" de F. Mitterrand), les extrêmes ont haï (et le terme n'est pas encore assez fort) le Général de Gaulle. 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



11/04/2017
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